
Olivier Kaeser
(*1963) Historien de l’art, commissaire d’expositions et de projets pluridisciplinaires, directeur d’Arta Sperto (artasperto.ch), pilote de projets éditoriaux, il a codirigé le Centre culturel suisse à Paris de 2008 à 2018, et l’association attitudes de 1994 à 2012.

Josée Kamoun
(*1951) Traductrice littéraire depuis 1985. Agrégée d’anglais et licenciée en anthropologie sociale, elle a soutenu une thèse de doctorat en littérature sur des romans de Henry James. Elle a traduit et parfois retraduit une cinquantaine d’ouvrages, parmi lesquels des œuvres John Irving, Philip Roth, Jack Kerouac, Jonathan Coe, George Orwell, Virginia Woolf, Richard Ford.

Jacques Kaufmann
(*1954) Né à Casablanca. Après des études céramiques à Genève, c’est au Rwanda puis en Chine qu’il est sensibilisé aux questions d’échanges interculturels. Sur le thème du «paysage céramique», avec la brique comme matériau, et la pauvreté des moyens comme attitude, il interroge les limites: celles des matériaux, qu’il multiplie, celles des cultures, qu’il croise.

Jennifer Keller


Valérie Kernen
(*1976) Journaliste, elle réalise des reportages écrits et radiophoniques sur des thématiques sociales en Suisse et dans des pays en voie de développement depuis 2001. Elle dresse tous les mois le portrait d’un migrant établi dans le canton de Neuchâtel, à l’enseigne du projet «Vivre ici en venant d’ailleurs».

Cynthia Khattar
(*1982) Journaliste indépendante après des études en lettres, elle a collaboré à l’ouvrage collectif Beyrouth, chroniques et détours, réalisé un court-métrage sur sa grand-mère libano-arménienne et initié un podcast sur les rues de Lausanne racontées par leurs habitant·e·s. Elle est membre de l’association Écran mobile qui réalise et produit des films et forme le public au Super 8.

Ariane Koch
(*1988) Née à Bâle, où elle vit. A étudié les beaux-arts, la philosophie et le théâtre à Bâle et à Berne. Elle écrit des textes de théâtre, de performance et de prose, souvent avec son groupe théâtral GKW dont les pièces ont été primées à de nombreuses reprises. Die Aufdrängung est son premier roman.

Emilia Koustova
(*1976) Après des études d’histoire à Moscou, Saint-Marin et Paris, elle est maître de conférences en civilisation russe à l’Université de Strasbourg. Historienne du XXe siècle, elle s’intéresse notamment à la culture politique et commémorative bolchevique et à l’histoire des répressions staliniennes.

Christian Kracht

